Lenia Major a consacré un roman pour adolescents à la lutte pour la protection des lévriers,
Caballero. Très « sensible » à la cause animale, l'écrivaine de Soufflenheim, aujourd'hui végétarienne, se veut optimiste pour l'avenir des lévriers espagnols : « Je rencontre beaucoup de jeunes, et ces pratiques les choquent profondément, dit-elle. Ça les touche et ils s'impliquent. Ce ne sont pas les politiques qui vont régler cela mais nous. Et donc les jeunes. »